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SCOREUR DE MARS
16 juin 2011

Hommage a la carrière de Big SHAQ

voici quelques grands moments (en vidéos) de la carrière du Shaq, en NBA ainsi que dans sa vie, sans oublier son émission et ces films  :

- Ces prémières années.

- Reportage : Overtime

- Reportage ESPN the life

- Un mix sur toutes ses facéties.

- Mix sur la saison 2011

- Son émission TV : Shaq versus ... (saison 1 et 2)

- le dvd "Shaquille o'neal : like no others"

- 2 films : Blue chips et Kazaam

Ces premières années.

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La première rencontre entre Dale Brown, le coach de Louisiana State University, et Shaquille O’Neal eut lieu sur une base de l’US Army à Wildflecken, en Allemagne. Shaq mesurait 1,98 m. Brown, qui était là pour animer un stage, engagea la conversation.

« Quel grade avez-vous, soldat ? »

« Aucun, j’ai 13 ans… », répondit le jeune garçon.

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Estomaqué, le coach de LSU demanda aussitôt à rencontrer son père. Shaq en 1989 au Mc do all american game :

Shaq LSU 1991:

Shaq a LSU

Shaquille Rashan O’Neal est un homme-enfant précoce, encore plein d’innocence. Ses parents l’ont bien éduqué. Il est le premier fils de Philip Harrison, sergent de l’US Army qui s’est converti à l’Islam, et de Lucille O’Neal, une douce et gentille femme qui a mis au monde trois autres enfants. Shaquille porte son nom parce que ses parents n’étaient pas mariés à sa naissance. Le sergent Harrison mesure 2,01 m. Par la force de sa personnalité – et parfois de ses mains -, il s’est assuré de la bonne éducation de son fils.

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Le jour où Dale Brown rencontra Philip Harrison, qui sortait du sauna, il fut interrompu à la moitié de sa phrase par la main de ce dernier posé sur sa poitrine.

« Soit. Le basket est une bonne chose mais je suis plus concerné par la scolarité de mon fils. »

O’Neal se souvient :

« Mon père me corrigeait à coups de pagaie. Il m’a appris à rester moi-même et à me montrer bon envers les autres. C’est le genre d’homme à dire : « Fais ce que je te dis sans poser de questions. Si je te le dis, c’est que j’ai vécu avant toi. » Si je ne le faisais pas, j’entendais parler du pays… »

 

Shaquille signifie « le petit » en arabe. Quand il était petit (façon de parler), il se battait avec ceux qui se moquaient de son nom. Aujourd’hui, il est le premier à le mettre en avant.

« Tout le monde connaît Michael Jordan, Patrick Ewing, Dominique Wilkins ou Magic Johnson. Il y a maintenant Shaquille O’Neal. Je crois que j’ai un nom fait pour le basket. »

Aucun doute là-dessus. Après la première retraite de Jordan, c’est la grande superstar du championnat NBA. La Terre entière lui promet un avenir extraordinaire. Aucun panneau ne peut résister à sa puissance. Certaines équipes font rajouter du poids sous les paniers pour éviter d’avoir à débourser 30 000 $ afin de les remplacer. Bill Walton, ancienne vedette de Boston, est admiratif.

« Il a un potentiel physique impressionnant. La musculation est presque superflue pour lui. Ce gamin a assez de talent et de personnalité pour devenir le meilleur. Ce ne sont pas les points ou les stats qui me font dire ça, c’est la façon avec laquelle il contrôle le cours du jeu. »

« Jouer avec le Shaq, c’est comme jouer avec Pelé ou Maradona au foot », affirmait Mike Hansen, l’un de ses coéquipiers à la fac de LSU.

Quand le Magic d’Orlando décrocha le 1er choix de la draft 1992, on comprit très vite que ce serait l’une des plus belles opérations de l’histoire de la NBA.

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Deux ans plus tard, la « Shaqmania » envahit le monde. La planète entière voit les images du dunk hallucinant d’O’Neal qui fracasse le système hydraulique d’un panneau de l’America West Arena de Phoenix.

Trois mois plus tard, c’est le panneau de la Meadowlands Arena à New Jersey qui est disloqué sous la puissance du n°32. A 15 000 $ le panier, Shaquille commence à coûter cher à la NBA. Les dirigeants doivent lui demander de se calmer un peu. Il est désormais la nouvelle arme absolue de la NBA pour conquérir le monde.

« Shaq est le basketteur le plus puissant depuis Wilt Chamberlain, affirme le président des Pacers, Donnie Walsh. Je suis affirmatif, il va tout écraser pendant 15 ans. »

Après deux saisons, les chiffres sont faramineux. Pour sa première, Shaq est élu Rookie de l’année.

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Il termine avec 23.4 points et 13.8 rebonds de moyenne. Pour la première fois depuis Michael Jordan, un débutant est retenu dans le cinq de départ du All-Star Game. Son premier match pro contre Miami se conclut par 18 rebonds ! O’Neal est bien le grand joueur annoncé.

Mais le plus dur est de confirmer. Avec le Shaq, pas de problème de ce côté-ci. Deuxième meilleur marqueur derrière David Robinson (29.3 pts de moyenne), deuxième meilleur rebondeur (13.2 prises par match), il s’affiche aussi à 59.9% de réussite aux tirs et 2.85 contres. Agrémentez le tout de 320 dunks. Seules ombres au tableau : un très modeste 55.4% sur la ligne des lancers francs et un nombre de passes décisives indignes d’un tel talent. Mais n’oublions pas que Shaquille est, à l’époque, encore jeune. Du côté des dirigeants d’Orlando, on ne se fait guère de souci. O’Neal est à coup sûr l’arme ultime pour décrocher le Graal. Cela se confirmera à Los Angeles en 2000.

En 1994 évidemment, on en est encore loin. L’aventure s’arrête au premier tour des playoffs contre Indiana (0-3). Avec la complicité d’Anfernee Hardaway et le renfort d’Horace Grant, le Magic peut diversifier les systèmes. Cela laisse encore plus de possibilités au n°32. Nul doute, à ce moment précis, que le Shaq obtiendra rapidement sa bague de champion. Pour boucler l’année, il peut se consoler avec le Mondial de Toronto. Déçu de ne pas être retenu au sein de la Dream Team I pour les J.O. de Barcelone en 1992, O’Neal prit une forme de revanche personnelle en devenant champion du monde avec la Dream Team II.

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En finale, la Russie ne put que constater les dégâts : 137-91. Circulez… Histoire d’ajouter une ligne à son C.V., Shaq fut élu MVP du tournoi. Qui aurait pu en douter ?

Pour avancer sur le chemin menant aux sommets, il fallait résister à la pression. En deux ans, l’intérieur floridien devient la cible prioritaire de tous ses homologues de la Ligue. Illustration parfaite lors du All-Star Game 1994 de Minneapolis. La Conférence Ouest a décidé d’empêcher O’Neal de jouer. Elle y parvient. Mais pour cela, ils doivent s’y mettre à plusieurs. Olajuwon, Kemp, Malone et Robinson. Rien que ça. Repensant à tous ceux qui pensaient l’avoir abattue, la tête de Turc d’un soir glissa, avant de monter dans sa limousine, quelque chose qui pourrait bien signifier « Rira bien qui rira le dernier ». Le All-Star Game suivant, à Phoenix, s’annonçait bouillant. Chaud et show. Car avec le « Diesel », les deux sont indissociables. Roi sur le terrain, il l’est aussi dans les magazines. Fan de rap, il a enregistré son album, « Shaq Diesel ».

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Après la chanson, il y eut le cinéma avec le film « Blue Chips » aux côtés de Nick Nolte. Rien ne peut l’arrêter. Pas même la pression.

« La pression, c’est quand vous ne savez pas où vous allez dormir le soir ou comment vous allez pouvoir trouver de quoi manger. Quand j’entre sur le terrain, je ne ressens aucune pression. »

Le « Big Aristotle » devient très vite un formidable support marketing. Reebok, Pepsi, Spalding et une pléiade d’autres marques se l’arrachent.

Son compte en banque explose.

« J’ai quatre types de sourire. Celui à 1 million de dollars, celui à 2 millions, celui à 4,6 millions et, si vous êtes vraiment très bon, celui à 8,8 millions », ironise-t-il.

Certains trouvent qu’il en fait trop et se moquent de sa boulimie médiatique en lui conseillant de travailler davantage ses lancers francs que ses clowneries.

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Mais on ne change pas le grand Shaquille. Il lui faudra six ans pour clouer le bec de ses détracteurs. Quand « Big Shad Daddy » s’en ira, c’est un pan entier de la glorieuse époque de la NBA qui s’écroulera.


Reportage : Overtime

Reportage ESPN : the life

- Un mix sur toutes ses facéties :

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Mix sur la saison 2011 :

 

Conférence de départ du Shaq, le 3 juin 2011:

 

Emission TV Shaq versus :

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Shaquille O’Neal
est la star de l’émission de TV : Shaq VS où le géant défie les stars américaines du sport.
Que ce soit en natation contre Michael Phelps, en beach volley, en catch contre The Big Show ou encore en boxe contre Oscar de la Hoya,

 

Saison 1

  • 1 – Ben Roethlisberger (lien ici )
  • 2 – Misty & Kerri (lien ici )
  • 3 – Albert Pujols  (lien ici )
  • 4 – Oscar de la Hoya (lien ici )
  • 5 – Finale: Michael Phelps  (lien ici )

Saison 2

  • 6 – Shaq VS Dale Earnhardt Jr.  (lien ici)
  • 7 – Shaq VS Sugar Shane Mosley / Shaq VS Penn & Teller(lien ici)
  • 8 – Shaq VS Rachel Ray / Shaq VS Tyson Gay  (lien ici)
  • 9 – Shaq VS Charles Barkley / Shaq VS Competitive Eating  (lien ici )
  • 10 – Shaq VS Justin Bieber / Shaq VS Jimmy Kimmel  (lien ici )

 

DVD sur shaq :

 

Film avec shaq :

Film de 1994, de William Friedkin avec Nick nolte, Shaq.

Synopsis : Comment l'entraîneur d'une équipe de basket-ball américain va, pour amener son équipe à la victoire, accepter des compromis pour la première fois de sa vie. Et comment, après la victoire, il va dénoncer publiquement les magouilles dont il s'est rendu complice.

Réalisateur : Paul Michael Glaser
Acteurs : Shaquille O'Neal, Francis Capra, Ally Walker
Genre : Comédie Pays : Étas-Unis Année : 1996 Duree : 93 min

Synopsis : Après avoir berné le gang de son école, Max est obligé de fuir. S'étant réfugié dans une vieille maison, il découvre une vieille boîte d'où s'échappe Kazaam le génie.

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